Etablissement

Nouveaux sweats LFM

Projet de l’Association des élèves du lycée (AEL), le sweat LFM-2024 a été conçu en couleurs achromatiques sur demande de nombreuses personnes intéressées. Avec beaucoup de style, ce vêtement a été apprécié par tous !

La ligne a été complétée par des t-shirts : un sobre pour le sport et l’autre plus casual avec un dessin coloré.

Tous ces vêtements portent des logos du LFM et de l’AEFE et vont servir à la promotion de notre établissement.

Merci à l’AEL pour ce projet bien réussi !

Ensemble on va plus loin!

Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin! Voici le thème du concours de Kamishibaï, théâtre de rue japonais, pour lequel les élèves d’ELCE 3e ont créé leur projet. Le 9 avril 2024 ils l’ont présenté aux élèves de 6e, 2nde et Tle et leurs enseignants lors du vernissage de l’exposition au CDI.

Les auteurs de ce projet – Sofiya, Théodore et Philippe – ont su réunir leurs talents individuels pour imaginer ensemble la quête d’un jeune peintre japonais qui a traversé de nombreux pays et a découvert des traditions culturelles différentes et des œuvres d’art célèbres. Sur son chemin il rencontre les “Arbres du voyageur”, des personnages symboliques qui lui parlent de leurs “racines”.

Chacun avait son rôle et ses tâches dans la création de l’histoire, mais à la fin du chemin ils suivaient tous ensemble le destin du héros avec émotion.

Kamishibaï (kami – “papier”, shibaï – “théâtre”, donc théâtre en papier) est une démonstration d’une série d’illustrations accompagnée d’un récit écrit exprès pour cette présentation.

Né au XIX siècle, le Kamishibaï consistait d’un cadre en bois, installé le plus souvent sur une bicyclette, dans lequel on inserrait des planches de carton.

Le narrateur faisait défiler les dessins et commentait l’action. En plus de l’écran, une boite avec des bonbons était attachée au vélo. Le narrateur annonçait le début du spectacle avec des baguettes en bois et on pouvait acheter sur place des bonbons et des jouets.

L’histoire du peintre japonais avec sa fin heureuse a suscité chez les spectateurs leurs propres interprétations et leur propre compréhension du proverbe Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. Ce n’est pas surprenant, puisque la tradition artistique japonaise comprend un espace pour l’imagination et une libre interprétation de l’intention de l’auteur.

Même les auteurs de l’histoire ont chacun des épisodes différents qu’ils trouvent les plus importants, et ils s’identifient avec des personnages différents qui parlent des langues différentes.

A la fin de la présentation, les invités ont pu échanger leurs impressions et poser les questions qui les ont le plus intéressés.

Les dessins et les accessoires ont suscité un grand intérêt. La distribution des chocolats était aussi une surprise bien accueillie.

La présentation était accompagnée d’une exposition des dessins et des textes de chaque épisode de l’histoire, avec des dialogues traduits des six langues parlées par les personnages. On peut également y trouver les informations sur les œuvres d’art inclues dans la performance ainsi que la vidéo du Kamishibaï.

L’exposition est ouverte au public au CDI jusqu’aux vacances.

Texte et photo: Anna Antonova

Tournoi de tennis de table

Dans le cadre des activités du midi proposées aux élèves du secondaire lors de la pause méridienne, les élèves de la 6ème à la terminale peuvent jouer au tennis de table.

Pour les vrais amateurs, un Grand tournoi du printemps ouvert à tous les âges a été organisé par Stéphane, Assistant d’éducation qui encadre cette activité.

Après une série de matchs nous sommes arrivés à la finale du tournoi qui a eu lieu ce lundi 8 avril.

M. le Proviseur a félicité les sportifs et a remis la coupe au gagnant.

Merci à tous les participants et à l’organisateur pour ce tournoi passionnant !

Concours de nouvelles

Félicitations aux deux lauréates de cette première édition du concours de nouvelles !

Les membres du jury ont été sensibles à la richesse du vocabulaire, à la construction recherchée des phrases et à la qualité de la narration.

Toutes nos félicitations aux lauréates !

 

Hannah Rose, 3ème B

« Seule »

Quand le soleil disparaît derrière les milliers de gratte-ciel qui dominent l’horizon, je quitte ma demeure en direction du centre-ville. Je lance un dernier regard derrière moi, et je soupire. L’immeuble dans lequel je vis maintenant – identique à tous les autres bâtiments de la rue, du quartier, de la ville – me paraît tellement différent de la petite maison dans laquelle j’ai grandi, avec sa petite porte rouge, avec ses fenêtres qui étaient presque totalement cachées par le chêne dans le jardin, avec ses murs qui contenaient mes tout premiers souvenirs. Cette maison se trouvait dans ma ville, la ville où j’avais toujours vécu. En un clin d’œil, je m’y retrouve – dans cette ville mystérieuse, ma ville, avec ses centaines de ruelles qui serpentaient jusqu’à l’infini. Ma ville, avec ses secrets que nul autre que moi connaissait. Ma ville, ma cité, mon petit royaume à moi – qui aujourd’hui n’existe plus. Ma ville, dont la population a été complètement décimée ; ma ville, qui a été effacée des cartes ;   ma ville, mon pays qui est déchiré par la guerre.

Et je me retrouve donc aujourd’hui dans cette nouvelle cité, étrange, hostile, me sentant complètement dépaysée. Rien ne m’est familier. Je ne connais personne. Je ne connais aucune rue, aucun bâtiment. Mais je ne peux vivre ainsi – il faut que je découvre ce qui m’entoure, il faut que je « fasse connaissance » avec cette ville qui devra désormais être la mienne.

Je respire profondément et m’arrache de mes souvenirs. Le ciel s’assombrit rapidement, il faut que je me dépêche. Je fais un premier pas devant moi, plongeant dans l’obscurité. Un deuxième pas, et les ténèbres m’engloutissent. En marchant, je choisi des rues au hasard, errant d’un boulevard identique à un autre. Les bâtiments, tous d’une couleur grisâtre, semblent toucher le ciel. J’essaie en vain de trouver de la verdure, mais il n’y a aucun arbre, aucune trace de la nature. Et lorsque l’odeur de l’essence, mélangée à celle des cigarettes et des égouts, parvient à mes narines, je m’étouffe. Je pense à mon petit jardin — mais on l’a probablement déjà réduit en cendres. Les larmes me montent aux yeux en pensant à la destruction de tout ce qui m’est cher, mais je suis rapidement distraite par un autre malheur qui s’ajoute à ma situation : il fait un froid épouvantable. Je me rends compte que je vais bientôt geler, et qu’il faudrait bien rentrer. Mais lorsque je regarde autour de moi pour m’orienter, je ne reconnais aucun bâtiment — cette rue ressemble aux milliers d’autres rues qui parcourent la cité. Je suis perdue, perdue au milieu d’une cité hostile que je ne connais point. J’essaie de saluer quelqu’un pour leur demander où je me trouve, mais tous m’ignorent. Mon souffle se condense dans l’air. Que vais-je faire ?

En regardant autour de moi, j’aperçois un groupe de gens qui semblent se diriger vers le centre-ville. Je décide de les suivre, en pensant que je pourrais peut-être retrouver mon chemin à partir de là-bas. En marchant, je m’aperçois que les rues deviennent de plus en plus larges. De plus en plus de gens nous rejoignent au fur et à mesure que l’on se rapproche du centre. Deux, trois, quatre, dix gens s’ajoutent au groupe. Je me retrouve bientôt au sein d’une foule grandissante. Au fur et à mesure, je dois adapter ma vitesse à celle des autres, il faut que je balance mes bras et mes hanches d’une certaine manière afin d’éviter de frôler les gens. On me gêne, on me pousse, on m’écrase ; il faut absolument échapper à cet entassement. J’augmente la vitesse à laquelle je marche afin de les dépasser, mais lorsque je les dépasse, je ne sais plus que faire, ni pourquoi je les ai dépassés, car je me retrouve dans exactement la même foule, avec exactement la même gêne.

Je reste figée pendant une seconde, et je regarde autour de moi. Je suis entourée de milles couleurs, milles bruits, milles odeurs. Mais je n’entends rien, sauf ma propre respiration et mon cœur qui semble battre tellement fort qu’il est étonnant que personne d’autre ne l’entende. Mais il faut que je continue — je ne peux malheureusement pas rester ainsi jusqu’à la fin des temps — et, avec une dernière inspiration, je plonge dans la foule.

Je regrette immédiatement ma décision.

Sans réfléchir, des milliers de gens courent autour de moi, se livrant à leurs occupations personnelles. Ils ressemblent à de petites fourmis — un groupe, un but, un cerveau, une mentalité. Chacun de mes mouvements est délibérément calculé. Je dois marcher comme eux, aussi rapidement qu’eux, je dois penser comme eux. Si je m’arrête, si je tombe, ils me contourneront, me dépasseront, me piétineront. Si je meurs, ils continueront. En regardant cette masse vivante, silencieuse et oppressive, indifférente à toutes mes luttes et à tous mes malheurs, je m’asphyxie. J’ai envie de me recroqueviller sur moi-même et d’oublier le monde, de tout oublier. Je veux me lever, partir, fuir, et ne jamais revenir. Mais impossible de m’en extraire.

Ma vision s’assombrit. Mon cœur bat à tout rompre. Je n’arrive plus à respirer. Je suffoque. Entourée de milliers de gens, je n’ai jamais été aussi seule.

 

Romane, 6ème B

« Le retour des mésanges bleues »

Avez-vous déjà vécu une injustice ? Avez-vous été dans le cœur de l’action ? L’avez-vous vécu sans même comprendre ce qui se passait autour ? Même si vous ne vous en souvenez pas, il reste des traces, elles réapparaitront. Avez-vous déjà été au beau milieu d’une foule parlant une langue que vous ne comprenez pas, certaines personnes s’affolant, d’autres se pansant, d’autres encore se barricadant… ?

Au milieu d’une poussette, insouciante, mais sentant quand même une ambiance pesante dans l’air, foulant d’un pas hésitant le sol recouvert de suie et de caoutchouc brulé, les restes des barricades de pneus et autres objets indéfinissables -je ne savais pas quoi dire, je n’avais rien à dire, je savais à peine parler. Pourtant, lors d’un rassemblement de masse sur la place principale, je laissai échapper mon premier “j’ai peur”. Les gens criaient pour refermer les portes de l’enfer. Ce rassemblement était le fruit d’une nuit tragique de novembre, où les démons s’étaient emparés de fusils, laissant dans des rues des spectacles macabres. Les fleurs du mal sortaient du sol même pour dévorer le peu d’espoir qu’il restait. Depuis cette nuit-là, un bourdonnement s’intensifiant à chaque instant, amenait les gens à se révolter. Ce bourdonnement s’était mué en un cri de détresse aigu, recouvrant les chants des mésanges bleues. La paix n’était plus, même les berceuses des oiseaux n’aidaient plus à s’endormir.  Le soir, quand nous entendions des feux d’artifices, je prenais peur. J’avais raison, ils n’annonçaient pas l’accalmie du peuple. Je me souviens des paroles de ma mère, “A mes dix-sept ans, je fis un vœu, vivre une révolution. Le ciel m’a entendue, mais il m’a joué un tour ; on habite dedans, mais on est dehors.” En effet, nous ne savions rien de ce peuple, de leurs traditions, de leur histoire…Même si nous étions au cœur de l’action, nous étions dehors !

Quand décembre et janvier furent passés, février tomba dans un retentissement effroyable. L’inquiétude qu’avait éprouvée le peuple se confirma, personne ne voulait le croire. Heureusement, les gens nous acceptèrent, même avec joie. Avant, avant que tout cela n’éclate, les gens étaient rassurés qu’il y ait encore des étrangers, comme si cela voulait dire que tout n’était pas perdu. Dans la rue de notre logement, deux enfants se répétaient quelques phrases, comme une ritournelle :

Petit enfant, petit enfant,

Avez-vous pensé aux petits enfants ?

Lâchez-donc vos armes,

Soyez gentils avec les petits enfants.

 

Mes seuls souvenirs sont chétifs – une balade en poussette sur la place principale, entourée de barrières de sécurité en métal froid ; mes jeux avec mon voisin et nos collections d’éponges, collection que l’on affectionnait particulièrement ; l’arôme étranger de l’air ; et les chants des oiseaux, enfin revenus pour le printemps, quand l’agitation s’était calmée. Les arbres commençaient à donner naissance à de fins bourgeons, les mésanges bleues revenaient, et la paix s’installait.

Cette nouvelle est basée sur une histoire vraie, sur mon histoire, lors de ma petite enfance.

 

 

Une dictée peu ordinaire

Dans le cadre de la semaine de la francophonie, les élèves ont eu l’occasion de faire une dictée tous ensemble grâce à une visioconférence organisée par notre maitre-formatrice Madame Boudjatit et notre directeur Monsieur Gosselin.

A partir du texte inspiré de l’album, « Un jour, un loup » de Grégoire Solotareff,

les élèves se sont prêtés à l’exercice de la dictée avec sérieux : et ce, sous la dictée par Mr Grégoire Solorateff lui -même !

L’auteur a ensuite pris le temps de répondre à leurs questions.

Ce fut un superbe moment d’échange ! Merci Mr Solotareff !

Les CM

La revue de presse en 5e   

Les élèves de 5e s’exercent en ce troisième trimestre à la revue de presse dans le cadre de leur cours d’Education aux Médias et à l’Information. Pour cela ils utilisent le kiosque en ligne du LFM auquel ils accèdent via Pronote. Ils apprennent à lire la presse, à trier l’information, à la hiérarchiser et ensuite à la présenter à leurs camarades. Un exercice de synthèse qui leur servira ensuite tout au long de leur scolarité.

Et pour les aider à y voir plus clair, ils ont reçu fin mars la visite de Cassiopée VIENNE, conseillère presse et communication de l’Ambassade de France à Moscou. En poste depuis 18 mois, la diplomate a dans un premier temps évoqué son parcours et dans un second temps présenté plusieurs types de revues de presse. Il a été surtout question de méthode. L’entretien s’est terminé par une séance de selfies très appréciée des élèves.

Emilie BONNAUD

Matinée dansante

La semaine a commencé par un mini-spectacle de danse africaine préparée dans le cadre des activités proposées par la Vie scolaire pendant la pause méridienne sur l’initiative de l’AEL. Encadrées par Victoria, Assistante d’éducation, les filles ont travaillé plusieurs danses de groupe et ce matin les ont présentées aux camarades.

Le public bienveillant a beaucoup apprécié cette performance. Merci à Charifatou et Carolina pour ce bon moment festif !

A suivre !

Rencontre avec un metteur en scène

Les élèves de la Section internationale russe des classes de 1ère et de 3ème ont rencontré M. Igor YATSKO, acteur, metteur en scène et professeur. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du projet travaillé par les élèves en cours de littérature. Cette année scolaire les élèves ont vu plusieurs spectacles mis en scène par I. YATSKO d’après les œuvres littéraires classiques, parmi lesquels « Les femmes savantes » de Molière, « Les âmes mortes » de Gogol, « La cerisaie » de Tchékhov et « La Dame de pique » de Pouchkine.

Elena BELIAEVA

 

Trees of the Traveller, Kamishibaï – théâtre de rue japonais

Le groupe ELCE 3e vous présente son projet Kamishibaï, théâtre de rue japonais. Ce projet participe au concours de Kamishibaï plurilingue Kamilala 2023-24, dont le thème est “Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin!”

En janvier-mars 2024, le trio des élèves du groupe ELCE 3e a imaginé et réalisé l’histoire intitulée “Trees of the Traveller”, ou Les Arbres du voyageur qui parle d’un jeune peintre japonais et de sa quête.

Chaque membre de l’équipe était responsable d’un des trois aspects du projet : traduction et transcription, illustrations, son et caméra.

Au cours du travail sur ce projet, les élèves ont approfondi leurs connaissances de l’histoire des arts et ont imaginé des personnages symboliques qui reflètent la couleur locale des pays visités par l’artiste voyageur.

Une fois le projet terminé, ils l’ont présenté au public bienveillant de la 3B.

 

Voici les témoignages des auteurs de cette aventure (traduits de l’anglais) :

Sofiya S., traduction et transcription

Quand nous avons commencé à réflechir sur notre histoire, nous avions déjà quelques idées. Une fois que nous avons imaginé l’histoire, nous avons commencé à rédiger et dessiner. Nous avons partagé le travail, et ma partie était d’écrire des textes. Nous avons fait la plus grande partie tous ensemble, mais il restait quand même du travail à faire: la traduction et aussi la transcription. Maintenant, quand nous avons terminé, nous pouvons voir le résultat.

Le processus de la création de ce Kamishibaï était intéressant, mais pas que ça. Pendant ce temps, j’ai découvert beaucoup de choses que je ne connaissais pas avant: les oeuvres d’art et leurs originaux, par exemple.

Je trouve que les dessins reflètent très bien l’histoire. Theodore a fait un excellent travail.

La partie du projet que j’ai aimée le plus c’était le tournage. Nous imaginons déjà à quoi l’histoire va ressembler, mais nous ne voyons pas encore le résultat. J’étais aussi très surprise de voir l’enregistreur, je n’en avais jamais vu avant.

Je peux dire que mes impressions de ce projet sont très positives, et nous pouvons être contents de notre travail.

Theodore N., illustrations

Mes top trois illustrations sont l’Olivier, la conversation avec le vieux peintre et la scène finale.

Et mon moment préféré de cette histoire c’est quant la fleur tombe sur la main du peintre et il se passe quelque chose de mystérieux. C’est là que tout commence!

 

Philippe I., caméra et son

J’ai adoré jouer deux personnages. Le premier est le Chêne, j’aime son texte et son rôle dans l’histoire.

Et le deuxième est l’Olivier, il a aussi joué un rôle important.

Mon chapitre préféré c’est le chapitre final. C’est sympa de comprendre la situation. Imaginez que vous faites un long voyage et à la fin vous ne trouvez rien. J’étais heureux que le héros ait trouvé son “trésor”.

Texte et photos: Anna Antonova

Le LFM en finale Monde d’Ambassadeurs en herbe !  

Le Lycée Alexandre Dumas sera représenté dans deux catégories lors de la finale Monde d’Ambassadeurs et ambassadrices en herbe. Lundi 18 mars se déroulait la finale de la zone (Europe Centrale et Orientale) à Bratislava en Slovaquie sous un format hybride et depuis Moscou en visio les candidats du LFM se sont donc illustrés lors de ce concours d’éloquence dont le sujet était le suivant : « 1924 – 2024 : la modernité aux JO ».

Racim BENABI en 6e a remporté la finale du cycle 3 et les élèves de 5e Nadim BOUDJATIT, Lara EBEL et Auxence JACQUIS se sont imposés en « collectif ».

Coachés dans la dernière ligne droite par Benjamin QUENELLE, correspondant pour La Croix et Les Echos, Md BELIAEVA, professeure de russe, et Md BONNAUD, professeure documentaliste, les élèves sont à féliciter pour leur travail et leur investissement.

Un jury va désormais se réunir fin avril pour passer en revue les vidéos des lauréats de chaque zone et nous prendrons connaissance du palmarès courant mai. Les vainqueurs seront invités à Paris !

Emilie BONNAUD