Etablissement

El arte de vivir juntos

Les élèves de seconde ont travaillé en cours d’espagnol sur la séquence « Vivre entre générations », qui a suscité une réflexion sur l’importance de repenser les interactions, en particulier entre les personnes âgées et les très jeunes. Comment ces liens intergénérationnels sont-ils perçus à travers les différents domaines linguistiques que nous explorons ? Quels fondements culturels leur sont attribués ? Quelles perturbations ou redéfinitions affectent les relations entre générations ? Les frontières délimitant ce que l’on considère comme une génération semblent parfois floues. Comment les médias, qu’il s’agisse de la presse, de la littérature, des séries télévisées ou de la publicité, traduisent-ils ces évolutions ? Ils peuvent le faire par le biais de l’humour, de la parodie, du réalisme social ou d’une approche plus factuelle, comme dans le reportage.

Les élèves ont découvert le film « 100 días con la Tata » ainsi que la série espagnole « Cosas de la edad ».

Ils ont également partagé leurs réflexions sur l’article de Sofía Vargas (2021) intitulé « Abuelo de 75 años se viste como celebridades para demostrar que el estilo no tiene edad », ainsi que sur plusieurs vidéos de la BBVA intitulées « Aprendemos juntos ».

Par la suite, chaque groupe a choisi une thématique spécifique et a consacré deux semaines à un projet action.

Les élèves ont interviewé des membres de leur famille issus de différentes générations et ont élaboré des questionnaires sur des sujets liés à la vie, à l’amour et à l’avenir.

Certains ont souhaité partager les traditions et coutumes de leur pays, ainsi que les relations entre les jeunes et les personnes âgées, ce qui s’est révélé très enrichissant. D’autres ont opté pour passer une journée avec une personne âgée et ont ensuite présenté leur expérience. Cette initiative a impliqué les familles. Plusieurs proches ont pris l’initiative d’enregistrer des messages à notre attention, et certains ont même choisi de s’exprimer en espagnol :

Nataly Madera

A l’école BISM

Le 16 octobre, les élèves de première SELO ayant une spécialité scientifique se sont rendus à l’école britannique internationale de Moscou (BIS) afin d’assister aux projets de recherche scientifiques des élèves de cette école. Parmi les divers sujets abordés, figuraient l’écologie, les dangers du tabagisme et les conséquences de la malbouffe sur la santé.

Qu’ont-ils appris ? Découvrez l’article d’Anastasia, Charlyne et Lucine à ce sujet.

Equipe d’anglais et de DNL

On the 16th of October, we had the opportunity to visit the British International School of Moscow (BISM) and attend several presentations regarding various topics, including ecology, health and social challenges. The ones that intrigued us the most, were depicting the dangers of plastic. Those presentations were relevant as on the one side, we were shocked to discover the amount of plastic we consume unknowingly.

Microplastic Pollution in Waterways:   

Did you know that microplastic could infiltrate your brain? Well, this presentation is the best way to find out more about microplastic pollution and its impact on our health.

Indeed, once the presentation was done, we’ve been quite surprised by the numerous severe effects of microplastic pollution on people, as different chemicals can leach from our plastic water bottles, knives and dermatologic products into our bodies. The compounds are linked to serious health issues such as endocrine disruption, insulin resistance, decreased reproductive health, and cancer.

Strategies to reduce microplastic pollution are therefore required, and this without harming the environment. In effect, this presentation also put to light some of the modern ways of production without any harm for environment, as well as natural techniques to reduce the amount of microplastic. For example, one of those is the use of natural organisms like algae and fungi, that can break down microplastics.

Anastasia and Ysaline with the presenters of the BISM

Par Anastasia, Charlyne et Lucine

Amazing Labyrinths

Notre groupe ELCE 4e a travaillé sur des choses étonnantes et nous pouvons finalement présenter nos projets. Ils sont consacrés à deux labyrinthes célèbres.

Le Hampton Court Maze est situé en Angleterre, près de Londres. Construit en 1700, il est ouvert au public en 1838 et Jerome K. Jerome le mentionne dans son roman Three men in a boat en 1889. C’est le plus vieux labyrinthe au Royaume Uni qu’on peut visiter aujourd’hui.

Le Labyrinthe de Versailles est construit à la demande de Louis XIV pour aider le Dauphin à apprendre à lire. Charles Perrault suggère d’y installer 39 fontaines représentant les fables d’Esope. Ce labyrinthe n’existe plus, mais nous avons les livres et les gravures qui nous permettent de voyager dans le temps.

Pour la Semaine des lycées français du monde dont le thème est “Les lycéens créent et innovent”, les élèves du groupe ELCE 4e présentent leur vision nouvelle de ces deux monuments extraordinaires.

Photo et traduction de l’anglais : Anna Antonova

Théâtre d’ombres à l’Institut français    

Les élèves de 5e du Dispositif de langue français renforcé (DLFR) se sont rendus lundi matin à l’Institut français de Moscou pour leur 1ère séance de théâtre d’ombres. Cet atelier est animé par deux étudiantes de l’Ecole supérieure des Arts de la scène Konstantin Raïkin et aboutira à un spectacle qui sera présenté au printemps. Le thème est celui de l’univers de Jules Verne. Chaque élève va créer sa propre histoire et confectionner sa propre marionnette après avoir étudié Le Tour du monde en 80 jours avec Mme Tlemsani, professeure de français. Et cette première séance leur a permis de se familiariser avec les techniques de la scène.

Emilie Bonnaud

 

Goodbye, feet!

Et si les pieds n’étaient pas ici que les petits pieds d’Alice qu’elle perd de vue en grandissant, mais sa taille ?

A la différence des Français et des Russes, les Britanniques jonglent entre le système métrique et le système impérial qui a, par exemple, recours au feet ou au inches.

Ce n’est pas facile de faire la conversion mentalement, voilà pourquoi les élèves du groupe ELCE 4e se sont comparés à Alice haute de 9 pieds pour mieux imaginer les transformations qui lui arrivent au Pays des Merveilles. Mais comment mieux traduire ?

Cet exercice amusant et éloquent s’inscrit dans les discussions sur les défis de traduction autour de l’exposition Wonderland: 160 years.

Photo et texte:  Anna Antonova

Wonderland: 160 years – défis de traduction

La discussion sur la traduction et ses défis autour de l’exposition Wonderland: 160 years a réuni cette semaine les élèves de la 3e, 2nde et Terminale.

Ils ont relevé le défi ambitieux de traduire le texte de Lewis Carroll souvent considéré comme intraduisible à cause de ses jeux de mots et ses références culturelles.

Ensuite, ils ont comparé les traductions existantes en français et en russe pour discuter des choix faits par les traducteurs professionnels.

La conclusion est philosophique et optimiste : chaque langue est un monde, mais ces mondes peuvent communiquer.

Photo et texte: Anna Antonova

La Grande Lessive

Mercredi 13 novembre, les élèves de l’école Bounine ont invité leurs parents à La Grande Lessive®. Créée en 2006 par la plasticienne Joëlle Gonthier, La Grande Lessive® est un évènement culturel international qui adopte la forme d’une installation artistique éphémère, faite par tous.

Dans l’esprit de la création collective, une exposition qui s’appelle cette année « Pareil / Pas pareil » a réuni les productions d’élèves. Présentés sur des fils tendus, les dessins et les collages ont transformé les couloirs de l’école en salles d’expo.

Merci à tous les artistes participants !

Cérémonie de commémoration du 11 novembre

Les élèves de 3ème accompagnés par les professeurs d’histoire M. Betton et M. La Barbe, se sont rendus au carré français du cimetière Vvedenskove pour représenter le lycée Alexandre Dumas à la Cérémonie de commémoration de l’Armistice du 11 novembre 1918.

La cérémonie a réuni des Français et des Russes autour de la stèle des morts de 1812 où reposent les pilotes de chasse français du régiment Normandie Niémen tombés en Russie aux côtés de leurs camarades soviétiques de 1943 à 1945. Depuis la disparition des derniers survivants de la « Grande Guerre », le 11 novembre associe dans la même mémoire les soldats de toutes les guerres morts pour la France.

Après les hymnes nationaux de France et de Russie et quelques discours prononcés en français et en russe, les élèves ont déposé des « fleurs du souvenir » au pied de la stèle mémorielle.

Il est à noter qu’une classe de CM2 était présente de son coté à la cérémonie officielle organisée par l’Ambassade de France.

 

Le mot du professeur d’Histoire

Chers élèves du lycée français de Moscou et chers élèves des écoles russes…

C’est une joie de nous retrouver ensemble dans ce cimetière de Vvedenskoye autour de stèle des morts de la Grande Armée de 1812 et des tombes des pilotes du Normandie Niémen où reposent des Français en terre russe.

Pendant plus d’un siècle, ce jour du 11 novembre a marqué en France la commémoration de l’armistice et des morts de la première guerre mondiale. Le jour de la Saint Martin, à la onzième heure, du onzième jour, du onzième mois de l’année le clairon sonnait la fin des combats et faisait taire les canons sur un front courant de la mer du Nord à la Suisse. Dans toutes les villes et villages de France les cloches des églises carillonnèrent à la volée pour annoncer le retour de la paix.

Cependant, le temps passe et le dernier soldat de la grande guerre s’est éteint en 2008.  Avec Lazare Ponticelli, né en Italie en 1897, engagé volontaire étranger dans l’armée française en 1914 disparaissait le dernier témoin de la « Grande Guerre ». La signification du 11 novembre s’est donc élargie pour devenir le jour d’hommage national à tous ceux qui sont « morts pour la France » dans les guerres anciennes et les opérations extérieures plus récentes. L’Histoire des hommes étant tragique la liste de ceux qui sont morts pour la France ne sera jamais close.

La mémoire du sacrifice de nos anciens ne doit pas nous faire peur mais nous oblige. A travers ceux qui sont morts n’est pas la guerre que nous exaltons mais la paix qui reste le bien le plus précieux des nations ; une paix dont chacun d’entre nous, à sa place, a le devoir d’être l’infatigable instrument. Notre présence ici en est le signe.

Vive la France et Vive la Russie !

Jean-Stéphane Betton, Professeur d’histoire au LFM

Deuxième exposition du Mois américain

Série d’Expositions sur les Élections Américaines : Deuxième Partie, du 11 au 15 novembre
Lieu : CDI
Intervenante : Sarah Brock, Public Diplomacy (le mardi 12 novembre à 10h)
Classes concernées : 6e, 4e, 3e PARLE
Enseignants : Mme Tikhomirova et Mr Moreau

Après le succès de la première exposition sur le système électoral américain par les élèves de 2nde du parcours SELO, le Lycée Français de Moscou poursuit sa série d’expositions avec une nouvelle étape : cette semaine, ce sont les élèves du parcours PARLE (6e, 4e et 3e) qui découvrent l’histoire et le symbolisme des monnaies américaines.

« Icons of Liberty: Celebrating U.S. Women on Coins » et « From Founding Fathers to Presidents: U.S. Icons on Coins »

Cette exposition explore le rôle des figures emblématiques présentes sur les pièces et billets américains, en mettant en avant non seulement les présidents célèbres mais aussi les femmes influentes qui ont marqué l’histoire des États-Unis. Parmi elles, Susan B. Anthony, militante pour le droit de vote des femmes, Sacagawea, interprète et guide pour l’expédition de Lewis et Clark, Helen Keller, militante pour les droits des personnes handicapées et symbole de résilience, ainsi que Maya Angelou, poétesse et activiste inspirante. Ces icônes, symboles de liberté et de courage, offrent aux élèves une plongée fascinante dans l’histoire américaine et les valeurs qu’elles incarnent.

Les élèves du parcours PARLE ont eu la chance d’échanger avec Sarah Brock, spécialiste en diplomatie publique, qui a enrichi leurs connaissances en répondant à leurs questions sur le symbolisme et l’importance de ces figures dans le contexte américain. Cet échange a été un moment fort, permettant aux élèves de mieux comprendre l’impact de ces personnalités dans la société américaine d’hier et d’aujourd’hui.

À suivre, la semaine du 18 novembre : Les élèves de 5e exploreront bientôt les biographies des présidents américains

Ludovic MOREAU

Semaine du goût à l’IDF

En CP B, la semaine du goût du 14 au 18 octobre, ça réveille les papilles !

Tous les jours, les enfants devaient respecter un code couleur pour s’habiller. Ce rituel a marqué les différentes activités de la semaine et les dégustations.

Lundi, en rouge, nettoyage et découpage des tomates, poivrons, fraises, grenades et canneberges.

Mardi, en vert, concombres, kiwis, chips d’algues et raisins. Et découverte du jeu des fruits et des légumes et de leurs couleurs. Travail sur le vocabulaire et les règles du jeu.

Mercredi, en jaune, ananas, tomates, citrons et bananes. Jeu avec les GS d’Anna. Les CP B étaient les maitres du jeu et responsables de petits groupes de GS. Tout le monde était actif. Et pour finir, les GS ont offert des devinettes et de drôles de gâteaux délicieux.

Jeudi, en orange, mandarines, mangues, kumquats et carottes. Répétition du jeu et tour de trottinette.

Vendredi, en multicolore puisque c’était Halloween !

Au programme de la journée :

  • Des costumes hauts en couleurs ! Et oui, il fallait faire peur !
  • L’atelier jeu des fruits et des légumes avec les PS et les MS chez Grecia.
  • Des ateliers cuisine : recette des madeleines avec Magali et recette des gaufres avec Alëna.
  • Une visite avec Julie chez les CM1 de Nathalie :  » Trick or treat ? »
  • Découverte des histoires de sorcières de Pierre Gripari avec dégustation de nos préparations

Une sacrée journée !

Magali Charbonnel